Le bonheur se construit seul pour se partager à deux.

[jeremy05]

Rappel du premier message :

Voici un texte d'André Baechler - Maître Reïki
C'est du haut niveau

On ne peut vivre heureux à deux si l'on est dans l'incapacité d'être pleinement heureux tout seul. Le bonheur ( ou le malheur ) ne se construit pas à deux, il se construit seul pour être ensuite partagé à deux. L'autre n'est pas responsable de vous, il (elle) ne vous doit rien, il (elle) ne peut combler vos manques. Vous seul(e) pouvez changer votre vie. L'autre ne peut que vous accompagner dans l'amour inconditionnel sur votre chemin.
La vie de couple est donc possible, non pas comme thérapie, mais comme manière de partager et de nourrir, dans l'instant présent, ce qui existe déjà au plus profond de nous. Libres de toute attente, nous pouvons alors grandir à deux en appréciant nos différences et notre beauté intérieure.

[jeremy05]

Oui excellent !
C'est très parlant je trouve.

Merci !

[Rigel]

Oupssss Oupssss Oupsssss.....
Que veut dire : Le bonheur se construit seul pour se partager à deux. ?
Dans cette question la relation de couple, nous, sur le plan physique est suggérée..
Le bonheur se construit seul .... ?
Il n'y a pas de partage.. Cela veut dire quoi ?
Y aurait il un partage possible entre êtres humains ?
Notre niveau de conscience ? Il est où ? Je parle de l'espèce humaine pas de nous
Quoique ?
Qui sommes nous ?

[Varnaf]

C'est peut être quand on ne le cherche plus qu'il se révèle...

[tijani]

C'est peut être quand on ne le cherche plus qu'il se révèle...]

Magnifique !

[Varnaf]

Merci tijani... malgré toutes mes conneries....

[Rigel]

C'est peut être quand on ne le cherche plus qu'il se révèle...

Possible Varnaf ?
Le Bonheur à deux de l'ai cherché pour deux, ensuite pour mes enfants.
J'ai fait fausse route sur tout ? Non je ne pense pas.
Divorcée depuis quatre ans, mon ex mari vient de DCD. Le 4 Oct.
45 ans de mariage.. Qui dit mieux ?
Le Bonheur se construit seul ????

La vie de couple est donc possible, non pas comme thérapie, mais comme manière de partager et de nourrir, dans l'instant présent, ce qui existe déjà au plus profond de nous. Libres de toute attente, nous pouvons alors grandir à deux en appréciant nos différences et notre beauté intérieure.

Qui peut dire qu'il est heureux seul si ce n'est un ermite ? Et encore faudrait il trouver cet "ermite" pour nous dire ce qu'il en pense.
Faut pas oublier que nous sommes de simples humains.
Mais c'est peut être vrai ...

C'est peut être quand on ne le cherche plus qu'il se révèle...

[Marie]

Plein de choses douillettes pour toi Rigel

[Rigel]

Merci Marie.

[Jean-Yves]

Bonsoir, voici ce que tout ceci évoque pour moi...

Je crois que ce texte (en haut de page) fait allusion à ce que certains, dont le psychologue Boris Cyrulnik, appellent les relations "secure", ces relations où la présence de l'autre vient combler un vide affectif en soi. La nécessité de ce type de relation repose sur une peur enfouie en soi, la peur de la solitude, de l'abandon… et dans ce cas, la présence de l'autre fait diminuer cette souffrance en soi, car il s'agit bien de souffrance.

Et il y aurait, lorsque l'on est instable émotionnellement (dépendant de l'autre sur le plan affectif), d'après l'auteur de ce texte, nécessité de se retrouver seul face à nos démons, face à nos insuffisances afin de les dépasser et ainsi de retrouver une stabilité émotionnelle autonome, c'est-à-dire qui ne dépend pas de l'autre.
Maintenant, qu'en est-il réellement ?? Il semble évident que la grande majorité des couples ne sont pas concernés par ce schéma.

Apparemment il y a une sorte de complémentarité qui se met en place tout à fait naturellement dans les relations affectives, et qui fait que celui qui a besoin d'être rassuré ou soutenu va s'associer à la personne dont le profil correspond à son attente et vice versa, celui qui viendra la rassurer ou la soutenir sera aussi en manque sur le plan affectif et trouvera ainsi, en donnant à l'autre ce qui lui manque, en transmettant l'affection, le moyen de se guérir elle-même. [Car il est bien connu, évident de mon point de vue, que cette volonté de donner est une façon légitime de combler le vide en soi, de se nourrir soi-même… comme si on percevait inconsciemment que l'on reçoit en fonction de ce que l'on donne.]
C'est un peu à mon sens, comme deux pièces d'un puzzle qui s'emboiteraient parfaitement.

Cela signifie-t-il qu'il vaudrait mieux ne pas entretenir ce type de relation ? comme semble le suggérer ce texte… je ne pense pas, car alors ce serait vraiment être dur avec soi-même et que sans doute c'est variable selon les individus. Toutefois lorsque l'on réalise que nous sommes dans ce genre de relation c'est que déjà on perçoit le malaise en soi et que l'on s'apprête à le dépasser ; et quand on le perçoit il devient un peu comme le nez au milieu du visage, il ressort et crée un inconfort toujours plus grand. Cela est dû à un accroissement de la clarté de notre propre conscience, qui nous fait percevoir ce qui jusque-là était totalement enfoui en soi, dans le subconscient. Le malaise, la dépendance affective vis-à-vis de l'autre, dès qu'elle est perçue, elle devient un peu comme une dent qui nous fait mal, et que tôt ou tard il faudra arracher (dépasser pour le malaise). Et il s'ensuit alors des mouvements dans les couples, des séparations…

Pour ce qui est de partager le bonheur à deux ou de ester seul, je pense surtout que cela dépend du désir de chacun... de ce qui nous comble...

[Rigel]

[Car il est bien connu,
Je ne pense pas que tout soit connu Jean-Yves. Et rien n'est de stable ou instable.
Ok avec toi quand tu dis:
Pour ce qui est de partager le bonheur à deux ou de ester seul, je pense surtout que cela dépend du désir de chacun... de ce qui nous comble...

[Jean-Yves]

[Car il est bien connu,
Je ne pense pas que tout soit connu Jean-Yves. Et rien n'est de stable ou instable.
[/color]

Oui, sans doute, me semble-t-il est-ce vrai dans certains cas...

[Rigel]

Les mots ne seront que du blablaba...... Jean-Yves
Le cœur dicte. Ensuite .... L'aventure ....

[Kouen]

Voici un texte d'André Baechler - Maître Reïki
C'est du haut niveau

On ne peut vivre heureux à deux si l'on est dans l'incapacité d'être pleinement heureux tout seul. Le bonheur ( ou le malheur ) ne se construit pas à deux, il se construit seul pour être ensuite partagé à deux. L'autre n'est pas responsable de vous, il (elle) ne vous doit rien, il (elle) ne peut combler vos manques. Vous seul(e) pouvez changer votre vie. L'autre ne peut que vous accompagner dans l'amour inconditionnel sur votre chemin.
La vie de couple est donc possible, non pas comme thérapie, mais comme manière de partager et de nourrir, dans l'instant présent, ce qui existe déjà au plus profond de nous. Libres de toute attente, nous pouvons alors grandir à deux en appréciant nos différences et notre beauté intérieure.

Pardonnez moi, mais ce texte est tellement beau, lisse, évident,
sous le joug du charme et du coeur, qu'il me semble irréel, décalé,
cela me semble si loin, si inaccessible à la vie de tous les jours !!

Ce qui ne veut pas dire que c'est faux !!!

D'ailleurs, je pense qu'il existe autant de 'bonheurs' que de 'couples'
et que même dans ce registre, les différences sont parlantes, si c'est
pour être 'à deux' et 'vivre seul'...autant rester 'seul' dans sa vie !!

( la rabat joie )

[Contenu sponsorisé]